Olivier Comte pour les Souffleurs commandos poétiques.
Le Grand dépôt d'Aubervilliers
Premier trésor poétique municipal mondial
[issu de la délibération poétique votée le 20 octobre 2011 lors du
Premier trésor poétique municipal mondial
[issu de la délibération poétique votée le 20 octobre 2011 lors du
Conseil municipal extraordinaire sur le rêve]
Crédit : Willy Vainqueur
"Ils ont échoué parce qu'ils n'avaient pas commencé par le rêve"
L'inauguration du Grand dépôt d'Aubervilliers aura lieu
ce samedi 15 septembre 2012 à 13H
sur le parvis des archives de la ville d'Aubervilliers,
31-33 rue de la Commune de Paris.
Au programme : "Discours poétique", "Tempête littéraire" et "Petite expérience de cinéma inanimé" !
Cette inauguration est
réalisée en partenariat avec le service des archives de la ville,
à
l'occasion des Journées européennes du patrimoine.
La Folle tentative d'Aubervilliers [2009 – 2012], laboratoire de recherche de solutions poétiques pour le monde, a donné vie aux « moments impossibles », initiés par les Souffleurs avec les habitants d'Aubervilliers. Un de ces « moments impossibles » eu lieu le 20 octobre 2011 : un Conseil municipal extraordinaire, présidé par Stéphane Hessel, en présence de M. le Maire Jacques Salvator, de Jack Ralite, des conseillers municipaux et près de trois cents citoyens, avec pour ordre du jour la phrase attribuée à Shakespeare : "Ils ont échoué parce qu'ils n'avaient pas commencé par le rêve" [Conseil municipal extraordinaire - Archives]. Lors de ce conseil municipal extraordinaire, quatre délibérations poétiques ont été votées. La première de ces délibérations fut la création du Grand dépôt d'Aubervilliers – Premier trésor poétique municipal mondial. Ce fonds, constitué aux archives de la ville, sera alimenté par les paroles poétiques dormantes des communautés linguistiques d'Aubervilliers.
Ce petit poème me fait penser à votre remarquable travail poétique:
RépondreSupprimer"Sur l'ardoise qui glissait du toit,
on avait écrit un poème.
La gouttière est bordée de diamants:
les oiseaux viennent la boire"
Reverdy.