30/11/2010

Sorties des classes - écoles Langevin et Joliot Curie

Nous étions mardi 30 novembre à la sorties des écoles Langevin et Joliot Curie, dans le froid. 
Nous avons accueilli les écoliers qui sortaient emmitouflés des salles de cours.
Marie-Pierre Bologna du journal Le Parisien a accompagné ce commando poétique


brise littéraire au lycée Le Corbusier

Le 30 novembre, nous étions au lycée Le Corbusier à quelques encablures de notre hangar de création. Nous avons fait tomber dans la cour intérieure une brise littéraire au moment de la sortie des classes à midi.
Puis nous sommes restés là, et nous avons soufflé dans le hall,
dans les couloirs de l'administration,
et jusque dans la cantine

29/11/2010

Sortie des classes - collège Gabriel Péri

Peu de photos parce que le jour décline : après les écoles Robespierre et Babeuf, nous sommes allés chuchoter les derniers élèves à la sortie du collège Gabriel Péri.

Sortie des classes - écoles Robespierre et Babeuf

Nous étions à la sortie des classes pour surprendre les élèves des écoles Robespierre et Babeuf. 

Feuilleton #2 : Tout est possible

Construisez un monde cohérent à partir de Rien,
sachant que : moi = toi et que tout est possible.
Faites un dessin.
Jean Tardieu
Crédit les Souffleurs commandos poétiques.2010.

Chers fous du petit matin, voici quelques news

Nous continuons notre recrutement poétique des pousseurs poètes.
Deux incursions en commandos « hurleurs » sur le marché du centre ville nous ont convaincu que les Albertvillariens étaient capable de rêver de grandes choses.
Nous sommes désormais 193 pousseurs du petit matin.
Et RUE SILENCIEUSE ne peut se faire à moins de 350.
Pourquoi ?
Parce que nous avons compté les voitures, camionnettes, motos et scooters qui traversent le jeudi matin nos rues. Et nous avons déduit du résultat de cette enquête minutieuse le nombre de 350 pousseurs qui pousseront en relais tous les 10 mètres.
(60 voitures toutes les 10 minutes, c’est une moyenne)

N’oubliez pas l’APERO-SURPRISE de SAMEDI 4 Décembre!
A partir de 11 :30  Portes ouvertes au 2 rue Chapon

retrouvez ici les feuilletons précédents
feuilleton #1 Rue silencieuse

25/11/2010

Feuilleton de la Rue Silencieuse #1


Quand vous parlez de l'infini,
jusqu'à combien de kilomètres
pouvez-vous aller sans vous fatiguer?
Jean Tardieu

exemple d'un panneau de la Zone de Signalisation Poétique Ajoutée
 
Chers Pousseurs, chers futurs pousseurs, chers rêveurs, chers pousseurs de rêves,
Voici le premier feuilleton de notre rue silencieuse du 16 décembre 2010 de 07:00 à 08:00 du mat'.
Nous devons vous dire que cette idée agrandit les yeux de tous ceux à qui nous parlons de cette idée folle.

ARTE a décidé d'envoyer un réalisateur pour couvrir cet évènement extraordinaire.

LE PARISIEN sera là aussi. AUBERMENSUEL également bien sûr.
TÉLÉRAMA se penche sur notre berceau.
Les radios commencent à dresser l'oreille.
Les commerçants des rues concernées sont à fond dans cette idée de servir les clients en chuchotant!
D'aucuns nous disent que ça va faire un carton sur You Tube.
Bref,
"RUE SILENCIEUSE" suscite étonnement, incrédulité et admiration.
Ce qui nous importe, c'est que ce projet fou soit porté par les habitants d'Auber.
Voilà pourquoi nous n'activons pas les réseaux sociaux virtuels
 

Nous sommes toujours en recherche intensive de Pousseurs du petit matin.
142 Albertivillariens
se sont d'ores et déjà inscits MAIS...Il nous manque encore environ 200 Pousseurs.
Nous recrutons intensément chaque soir les compagnons de notre grande folie matinale dans les clubs de sport, les associations,etc.
les Jeudis matins prochains (25 novembre/02 décembre) à 12:00, nous serons en "commandos hurleurs" sur le marché du centre ville pour créer un buzz!
Parlez en autour de vous, demandez à vos amis de s'inscire, soyons fous et beaux à la fois, créons-nous de grands souvenirs communs.
 

Inscriptions au 01 40 11 35 79 et coordination@les-souffleurs.fr 
Et n'oubliez pas, GRAND APÉRO-SURPRISE 
dans notre hangar de création au 2 rue CHAPON 
samedi 4 décembre à partir de 11:30
 
Les Souffleurs commandos poétiques
 

"Il faut toujours viser la lune, en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles." Oscar Wilde 

Ballagande des Souffleurs #4

 Marie-Luc, aux Souffleurs

Nous sommes allés ce soir, Estelle, Jando, le fiancé d’Olivier (Thomas) et « my apple », tout d’abord au Gymnase Guy Moquet.

Le gardien nous apprend que ce soir, ce sont les même équipes masculines de handball (zut, suis pas fortiche en sport, sais plus comment ça s’écrit) que vendredi, qu’on leur a déjà parlé, qu’ils se sont déjà inscrits…

Pour le moment, sur le terrain, il y a des filles, toutes jeunes, visiblement mineures, qui se passent des ballons.

Mais, nous dit le gardien, il y a aussi une équipe de filles plus âgées, il faut demander à l’entraîneur quand et où elles ont entraînement.

Nous attendons donc la fin de l’entraînement en cours, assis sur un banc. Je ne sais pas si Estelle regarde le ballon où les filles, en tout cas, elle est subjuguée.

Au moment voulu, nous abordons l’entraîneur : Les filles handballeuses plus âgées seront demain, mardi 23, à Robespierre, à 20h30 (heure début de l’entraînement).

Entre-temps, nous avons convaincu le gardien de s’inscrire lui aussi.

Mais nous n’avons vu tout ce temps-là aucun des hommes déjà vus vendredi, là, j’ai pas compris…

Nous allons ensuite au stade Dr Pieyre. Là, nous recontrons Patrice, entraîneur, doux, calme, gentil, mais alors… gentil! Il connaît les Souffleurs, sait pourquoi nous sommes là. Mais nous devons attendre que les « grands » arrivent vers 20h, pour l’instant, sur le terrain, ce sont des « petits ».

Une amie de Patrice arrive, on lui parle, elle s’inscrit.

Patrice, lui, dit qu’il ne peut pas s’inscrire, il est handicapé (il boîte un peu) et ne peut pas pousser les voitures. Qu’à cela ne tienne, qu’on lui répond, viens quand même!

Il prend une affiche et la colle.

Vers 20h, défile vers les vestiaires une bonne vingtaine de jeunes, entre 18 et 30 ans, nous avait dit Patrice, black/blanc/beur. Ils sont beaux, ça inspire! (Là, Titi, je pense à toi, t’aurais adoré être ici, avec nous, avec eux… p… de b…l de m…e!!!!!!!)

Puis ils sortent sur le terrain. Patrice est avec nous, il leur dit qu’on est des artistes, qu’on a un truc fou à leur raconter. Ils se regroupent devant nous. On leur parle du projet de dingue. Ça les amuse, ils ont de l’humour; Vraiment, ils me plaisent beaucoup ces petits gars.

Ils sont plein à vouloir s’inscrire, mais Patrice dit qu’ils ne doivent pas se refroidir. On en inscrit quelques uns. Il y en a parmi eux qui inscrivent des copains qui sont même pas là!! Pendant ce temps, les autres commencent l’échauffement, allant et venant en courant, et chaque fois qu’ils passent près de nous, nous crient un nom, un numéro de téléphone, tout cela avec sourires et rires…

Patrice nous propose de lui laisser une feuille d’inscription, de finir de prendre leurs coordonnées après l’entraînement. Et puis, il a une autre équipe, demain ou après-demain, je ne sais plus bien, à qui il parlera et dont il recueillera aussi les inscriptions. Quand ce sera fait, il appelera le bureau des Souffleurs et propose de passer lui-même au hangar pour la déposer. On lui laisse donc une feuille d’inscription, des tracts, des invits pour le 4 décembre.

Top moumoute, ce Patrice!

Voilà, on a eu froid, mais on est heureux de ces rencontres.

23/11/2010

Ballagande des Souffleurs #3

Brigitte, aux Souffleurs

Zétions là Karim, Jando et bibi ma pomme, 13h au club de tennis Karman. Le cours des 5-7 ans. Il n'y a que des mamans qui sont là à admirer leurs bambins à travers la vitre. La pêche ne se présente pas top, vu que les mamans le matin de 7 à 8h s'occupent des enfants, habillage, mangeage, accompagnage à l'écolage, et retournage à la maison pour faire le..... ménage, balayage, nettoyage, et puis remangeage, réaccompagnage à l'écolage. Notre trio pas vraiment de choc pour le coup se décide à partir, quand soudain l'espoir renaît à la vue d'un..... homme, un mec, un type, un mâle, un tcheum,  derechef Jando fond littéralement sur lui, suivi de Karim et moi, on l'encadre, pas de risque qu'il s'échappe. Et là notre Jandorella, armé de son savoir de professionnel de la communication, commence son laïus, ça mord, oh oui ça mord, le gars trouve qu'on est totalement malade mais il aime ça, et voilà bingo son nom est couché sur la fiche d'inscription.

Sur le point de partir, un prof nous dit qu'à côté au stade, il y a probablement des tas de papas qui accompagent leurs enfants au foot. Merci pour le tuyau. On se caparate illico et nous voici à l'entrée du stade, là 2 types sont en grande conversation, on se plante devant eux , tout  sourires croissants de lune ultra brite plus très bright et vlan c'est reparti je redéroule le déroulé du pourquoi qu'on est là, alors alors ça vous dit de pousser, hein hein, ça vous dit. ? --  OUI OUI -- Ah oui euh vous voulez, euh oups attendez, oh là mon stylo mais où qu'il est, excusez moi je suis à vous tout de suite, ah ça y est le voilà ce P... de stylo, alors voilà je suis prête, notre nom ?  -- BYL , votre prénom ? --  Martial  -- (oh mais ça me dit quelque chose ça, Martial BYL, Martial BYL, pourquoi je connais ce nom là, Face BOOK ? Les copains d'abord ? une vie antérieure ?.  Ah mais oui EVIDEMMENT, mais quelle buse je fais. Te marre pas Adrienne, du respect pour les anciens (oups pardon Olivier, je le redirai plus)

On continue notre avancée sur le stade, et nous glanons encore deux inscriptions.

Ensuite nous allons boire un café chez Djamel, mmmmmm... il fait chaud, Jando s'endort sur la table, la tête posée sur les bras,  je lui fais un bisou sur la joue libre, une caresse dans le dos, il sourit aux anges comme un bébé. Et là me revient ce texte de Jean-Michel Maulpoix
" je ne me souviens pas de mon enfance. C'est une flaque d'eau qui a séché, ou somnole en moi quelque part. Cela n'a guère d'importance ; ce temps là était voué à se perdre. Il me semble parfois reconnaître le son d'une voix, un silence, et des mots inespérés que je n'invente pas, mais que je retrouve. Voilà ce qu'il me reste"
Karim et moi décidons d'aller chez les commerçants qui n'ont pas encore été visités. Nous laissons le bébé jouer avec les anges.
Nous traversons la rue et nous voilà au salon de coiffure. Karim qui connaît la chanson nous torche ça en deux coups de cuiller à pot. Ah au fait savez-vous d'où vient cette expression ? Elle viendrait d'Antoine de Bourbon, roi de Navarre, dont le château se situait à Pau . Alors qu'il était retenu loin de la reine Jeanne d'Albret, celle-ci donna naissance à un beau bébé qui allait devenir le futur Henri IV. Prévenu de l'heureux événement, le roi annonça la bonne nouvelle à ses courtisans en disant "Messieurs, la reine nous a donné un petit prince en deux coup de cul hier à Pau". Bon trève de tergivergéturgescensations, on  laisse des tracts, et on colle une affiche sur la vitrine à l'intérieur. En sortant on s'aperçoit que le "CULIN" de "MASCULIN" inscrit sur la vitrine cache une grande partie de l'affiche, bon allez c'est pas grave, hein c'est pas grave Karim ??? Karim dis-moi que c'est pas grave, on voit quand même un peu hein Karim ??? ARGHHHHHHHH  Non non je peux pas, je peux pas, je supporte pas ce "CULIN" sur notre affiche, toi non plus hein Karim, allez viens on y retourne.....  Mission accomplie en route pour la prochaine étape, légers, légers, délestés du poids de ces cinq lettres. Nous arrivons au cyber café, le patron est là qui discute avec un client, ils sont souriants, ils nous écoutent, un rire un peu plus appuyé  de temps à autre, et sans que nous ayons à discuter nous demandent de les inscrire. Comme dans du beurre, des doigts dans le nez, trop fastoche. On retrouve Jando au café, le teint rose, la mine reposée, et nous voilà partis au club de boxe, Cube nous a rejoints , Axel nous y attend. Le cours adultes n'a pas encore démarré, et Kader aura du retard. En attendant je m'assois à côté d'un grand boxeur, oh oui il grand, il est fort, sous son gros anorak on ne voit pas grand chose, mais on imagine, le muscle fuselé, la peau ruisselante, la veine battante, l'arrogance du regard, la puissance des mâchoires, la fureur du souffle, le ventre rugissant,  la BÊÊÊÊÊÊÊÊTE QUOI , hein euh quoi ah oui oui oh salut Tof, super t'es là !!!  on t'attendait.  En attendant la BÊÊÊÊÊÊTE s'est couchée sur le papier, il s'appelle Mohamed et il n'a pas quitté son anorak.

La suite ne se passe pas vraiment comme on l'escomptait,  bref on a laissé des tracts, des invitations pour l'apéro et une liste à l'entraîneur qui inscrira lui-même les volontaires.
Pas de signatures mais des photos, hi hi hi hi hi .

Ensuite direction centre nautique, bon une fois de plus mon maillot n'a servi à rien, pourtant ça promettait, imaginez, Jando, Tof, Axel et moi. On trouve tout à la Samaritaine !!!!
Bref on est dans le hall ,Il y a bien des cours d'adultes, mais ils arrivent au compte goutte, on  réussit quand même réunir un petit groupe de nageurs, et TOF les  ballagande en beauté, résultat trois autres inscriptions.

Et mais il fait nuit, ben oui il est 8h, je l'ai pas vu passer cette journée moi,  en revanche je l'ai sentie, oh que oui je l'ai sentie.

22/11/2010

Ballagandes des Souffleurs #2

 xTof, aux Souffleurs

Salutàtous

Partoutàtis

nous avons tracté ce soir la salle de muscu + la salle de boxe
voici un petit compte rendu laconique
il faut inscrire la salle de boxe à nouveau dans nos planning de demain 18h (début du cours à 18h30) pour joindre une vingtaine de boxeurs adultes, l'ambiance est très sympa, demander Kader qui vous regroupe ces gars 5mn avant le cours (comme les gars débutent par un footing d'échauffement, les pécho avant le début de leur footing si possible, attention tout se passe très vite, nous n'avions pas vraiment les codes hier soir)
ce ne seront pas les même gars et filles que hier soir, aussi ça vaut donc le coup d'y retourner.

La salle de muscu, pas besoin d'y retourner se sont souvent les mêmes vu que la gonflette appelle la fidélité dans la fréquentation.
on a vécu une vraie mise au défi de la part du boss de la salle qui pensait à la place de ces gars, et qui pensait que on était bien gentils mais que tout ça c'était pas pour eux, et que lui de toute façon l'avait quand même un travail et qu'il fallait pas le prendre pour un chauffe-eau comme dirait Jean-Marc.
Bref, on a insisté pour qu'il nous laisse nous adresser à ces gars (une 40aine qui étaient tous en train de soulever qui des altères, qui des poids, qui des poids, qui des altères...) pendant 5mn ! Il accepte, nous lançant une sorte de défi du coin de la bouche "vous avez 5 mn, si mes gars reprennent les poids avant la fin de votre présentation c'est que vous êtes des rigolos, des nazebrocs, des fendus, alors j'les siffle, je stoppe la zique et c'est à vous !"
vous imaginez ! quelle entrée !!!  on ne pouvez pas rêver mieux, introduit par le patron, on se plante Coco, Nico et moi au milieu de la salle, resserrés en position de kung fu mental, la gnaque aux dents, le ventre tendu (je dois dire que le régime que s'inflige Nico est d'une efficacité redoutable), "regarde-les droit dans les yeux" me glisse Coco experte en full contact. Pan ! c'est parti j'ouvre ma gueule, je déploie mes vocables dans la salle de sport, mes mots se mêlent à la transpiration ambiante, Nico, borsalino au raz des yeux, brandit l'affiche, Coco sourire aux dents déploie stylos, auto-collants, tee-shirt, tracts, invitations, banderoles, ma pomme casquette vissée au crâne, je déroule l'argumentation, gonflé à bloc, heureux comme un judokaboxeurmusculamêmepaspeur ! DONG ! Fin du ring ! la partie est gagnée ! les gars n'ont pas repris leur entraînement avant la fin de la tirade !
Joli coup avoue le boss, hé hé ! on l'a retourné c'est clair ! bon ben plus qu'à faire signer tout les gars. Dix signatures. Maigre victoire mais victoire tout de même. Allez hardi !!! à demain avec Tomate on va leur mettre la patate au club de Nat.

Appel à Pousseurs de voitures

Nous lançons un appel... rejoignez-nous!
Pour vous inscrire, écrivez-nous un petit mail ou appelez-nous
contact : Adrienne Ferré - 01 40 11 35 79 - coordination@les-souffleurs.fr

 


18/11/2010

Ballagandes des Souffleurs #1

Christophe Cube, aux Souffleurs

Or donc,
Voici le résultat de nos premières agit' prop', ballagandes, faits et autres gestes avec nos impressions, réflexions qui en ont découlé...

Axel P., Coco, Tof, Marie, Oriane et moi avons démarré au Gymnase Robespierre pour l'activité gymnastique de 18h, regroupant plutôt des seniors mais pas que, encadré par un dénommé Olivier très sympa et sa maman.

Déjà c'est bien d'arriver une demi-heure avant, ce qui permet de tchatcher avec les deux ou trois personnes qui sont là en avance, notamment l'entraîneur, et de se mettre d'accord sur le fait de prendre 10 minutes avant le début, une fois que tout le monde est là.
A Robespierre comme ensuite on a toujours eu un super accueil. Les gens sont étonnés, intrigués, très à l'écoute. Par contre, une fois que le speech est fini, faut vraiment y aller au corps à corps, de personne à personne, parce que même si nous suscitons l'intérêt nous nous heurtons aux contraintes que nous savions déjà : c'est tôt, à cette heure-là je travaille déjà, ou il me manque le temps d'aller ensuite au boulot, j'ai des enfants. Au final, sur toute la soirée, nous avons une douzaine de signatures dont certaines sont loin d'être complètement acquises.

Ensuite, on s'est retrouvés à 18h30 pour 19h au Gymnase Guy Moquet : idem, trois quatre gars devant à qui on parle, ils nous apprennent que le cours de 19h est pour les jeunes : c'est donc raté, par contre un entraînement de hand ball démarre à 20h30.

On a continué au gymnase Paul Bert (pour info, l'entrée est au 126 rue des Cités), à 19h30 pour 20h où nous apprenons qu'il s'agit d'acrobates, pas plus de 8. Tof et Axel y sont restés, Coco, Marie et moi somme retournés à Guy Moquet pour cueillir les handballeurs où ça s'est passé de façon similaire à Robespierre : 1 ou 2 personnes à qui on en parle, l'entraîneur, puis cercle autour de nous quand tout le monde est là.

Eu ensuite Tof au téléphone : les acrobates étaient très peu nombreux en fait, un autre entraînement avec plus de monde devait démarrer mais encore plus tard... A recibler pour jeudi prochain peut-être.