07/07/2012

Le cadeau... M. Harkati - Levée de rideau #2

Et hop, le cadeau...


Le cadeau par dm_5112bd04ba6b3


Chers habitués, chers Souffleurs, merci.

05/07/2012

Le rêve a une histoire, l'Histoire naît de rêves

Chers Vous,

L'été et ses bouleversements de grilles approchant, il était temps de boucler le feuilleton. Sans plus attendre, l'épisode clé, le dénouement, l'histoire du rêve, le reste de la dune, le château de savon.

Réunis à la boutique de quartier, nous - Renard, Pinpin, Cube et ma pomme, sans oublier la cinquième (et indispensable, la suite le prouve, si on en doutait) roulette du car-rolls, connue également sous le doux prénom de Roméo -  avons vu débarquer, un à un et avec parapluie, nos formidables équipiers prêts à lever le voile sur ce rêve et à raconter l'histoire de tout cela. Un bonheur supplémentaire : Mounia Harkati, fille de Monsieur, et son ami ont rejoint nos rangs, découvrant avec émotion que les clients rassemblés se comptaient bel et bien sur deux mains ! 
Un dernier petit point sur le déroulé  (trois parties pour être équilibrés) :  investissement délicat, musical et amical de la boutique / privilège né des amours d'une bulle de savon et d'une respiration d'éventail / cadeau à siroter au fil du temps.
Et nous avons filés, des victuailles plein les assiettes, Idir dans les bras (nous avions une procuration pour l'occasion) et de l'eau un peu partout. 19h et des brouettes, journée sans journaux, la boutique allait fermer (un poil plus tôt). Heureusement, nous avions notre botte secrète, notre carte maîtresse, notre atout qui rend la main Cochennec complète : le plus formidable visiteur de la Japan Expo. Arrivant in extremis acheter un "truc" de dernière minute (et la boutique de M. Harkati n'en manque pas...), notre cinquième roulette a retenu le temps, permettant un arrivage au port réussi.
La joie, l'émotion, la surprise, tout ça et plus. L'explication (enfin) de ce rêve silencieux du dimanche matin (chacun ayant continué à tenir sa langue, pratiquant l'art du "je ne sais pas", "ah non non", "c'est mon jumeau" ou de la traditionnelle apparition (achat) disparition, afin de retarder le temps de l'histoire).  Car c'est bien ainsi qu'il l'a vécu, notre libraire. Encore tout étonné d'avoir vu ses clients apparaître et surtout disparaître sans un mot. Comme envolés. Il pensait qu'une fois son rideau levé ce fameux dimanche, les gens expliqueraient leur étrange attroupement. Hé non ! Pfuit ! Alors il était persuadé d'avoir rêvé... Si ce n'est un étrange livre de poésie arabe, poignée de sable, où des noms familiers couvraient la première page...
Pendant ce temps de réjouissances, Radio-Grenouille fonctionne à plein. En liaison serrée, nous guettons le débarquement de Normandie de notre flamboyante Dalida, ralliée depuis le métro (la pluie ayant mis son grain de sable) par Dax-express. Hé oui, nous avions une sixième roulette, conductrice émérite de monture motorisée. Les Tripotes fonctionnent, vous l'aurez compris, à l'instar du rhizome. Après notre VIP de l'Oise et notre Parrain de rédaction, nous avions un nouveau couple invité. Un libraire, enseignant d'arabe littéraire avant l'Indépendance : une soufflette dans la langue s'imposait !
à travers l'éventail, dans un silence tissé du "ploc ! ploc ! " de bulles de savon délicatement soufflées par Cochennec Compagnie, Judith, puis Karim oeuvrent avec douceur et talent... Mahmoud Darwich, les éventails et M. Harkati derrière son comptoir. "Un très bon choix... Inoubliable. Unique. Un rêve."
Et l'Histoire nous rejoint : "C'est les 50 ans de l'Indépendance de l'Algérie. L'anniversaire, c'est aujourd'hui !" glisse Mounia. "C'est pour ça que j'ai le drapeau avec moi, je l'ai eu toute la journée" rajoute son ami. Ah bah, oui, on n'y avait pas pensé, pas fait le lien... Comme quoi, ça nous a bel et bien échappé, cette histoire ! Comme dans un rêve...
Les verres tournent, il faut les remplir. Vient le temps du Cadeau. Petit discours pour l'occasion : témoignage à un commerçant devenu un ami, un cadeau pour entretenir l'amitié. Un whisky à siroter le dimanche (avant le baisser de rideau). Et encore des mots, des rires, des yeux plein de larmes. "J'ai cru que c'était un rêve. Je me suis dit  : j'ouvre la boutique et après on va discuter. Ils avaient tous disparu. Je me suis dit : "qu'est-ce que c'est cette histoire ?". Tout le monde me disait que je m'étais trompé. C'était un rêve... Sauf le livre".

Voilou... c'est tout pour cette fois. Mais nous savons tous depuis longtemps que les histoires n'ont pas de fin. Que les rêves continuent leur chemin dans les mots, les corps, les airs. Pour devenir histoire, à nouveau.

Cochennec quasi-complète prend ses quartiers d'été dans la Cité des Papes, une roulette majeure se chargeant pendant ce temps de tisser une carte postale de cette jolie épopée. 
Je profite de ce dernier temps d'antenne (et ce, au nom de toute notre équipe) pour remercier une talentueuse Fourmi Futée qui, grâce à ses magnifiques et ingénieux tableaux, nous permet une descente fluide et des voyants verts pour cette délocalisation estivale. Là encore, une histoire de rêve! Merci merci merci....

Nous tirons donc le rideau pour ce soir, un immense merci à Laure et sa Dax, Olivier, ses rêves et son poteau, Jean-Marc, sa voiture et son parfum, Roméo et son manga, Judith et ses cheveux roux, Karim et son voile de mariée, Hélénita parce que c'est justement l'occasion (rêvée) pour, Vous tous enfin sans qui cette gazette n'aurait pas lieu d'être, et à titre personnel, Pinpin, Renard et Cube qui ont peuplé mes jours (et mes nuits, écrit-elle en baillant) de rêves !

je rends l'antenne, à vous les studios,
Des baisers,

Solange pour les Tripotes à quatre têtes, cinq roulettes, dix clients, plein d'amis....

03/07/2012

Levée de rideau chez M.Harkati - Quartier Cochennec #1

Entrez dans les secrets de la levée de rideau de M.Harkati...


Levée de rideau monsieur Harkati par dm_5112bd04ba6b3


Merci François !

01/07/2012

Hommage à un petit commerçant - Levée de rideau dans la librairie - papeterie de M.Harkati

Chers Vous,

Il ne sera pas dit que vous resterez la langue pendante et le souffle court. Non, vous n'irez pas rejoindre Morphée (décidément, vous ne faites que ça, veinards !) sans avoir des nouvelles de notre/leur magnifique levée (lever ?) de rideau.

Chacun a tenu magistralement son rôle, une équipe surmotivée, un M.Harkati ému et surpris, un rayon de soleil opportun ("C'est chance, c'est chance", dixit Marie Pinpin, cousine supercali-etc de la Poppins bien connue).

Radio-grenouille a parfaitement fonctionné de part et d'autre de la rue Cochennec. 
Toutes nos équipes étaient sur le pont : notre motard embusqué a trouvé refuge dans la voiture-balai d'un VIP matinal et fraîchement parfumé d'Eau 3 de chez Dyptique (ça, c'était la partie "people" de cette dépêche) d'où il a pu recueillir des images mémorables ("M. Harkati gare sa voiture, il a du mal avec son créneau, il ferme la porte, il tourne , il vérifie les portières, il avance, il met la clé,..." etc, bref, tremblez, journalistes de France 2 !), secondé admirablement par notre rédac' chef Olivier planqué derrière un poteau de première catégorie. Marie et son écharpe camouflage et Christophe sans son sac à dos (tête en l'air !) ont assuré un guet magistral. Solange s'est prise pour une maîtresse de kermesse planquée dans les coulisses ("avancez, avancez, en cercle, en cercle"). Le tout chapeauté avec grâce par notre pourvoyeuse officielle de jus de fruits mutivitaminé et Taxi-dax à ses heures.
ça c'était pour le staff technique.

Pour le reste... "Inoubliable" reste le mot du jour. C'était celui en tous cas de notre belle équipe de riverains. Ils avaient des étoiles et des larmes plein les yeux, des sourires de gamins qui retrouvent la magie des surprises aux copains. Tous avec un bouquin ou un livre différent sous le bras (du manuel de révision de langue arabe en passant par Causette, de Charlie hebdo à Sac et tricot) mais ensemble pour rendre hommage à leur libraire - papetier. C'est devenu leur moment. Pleinement.
L'ouverture d'une belle et longue journée sur Aubervilliers.

Promis, suivra un verbatim détaillé avec images à l'appui. Et puis, il reste le Ciel de traîne. Le cadeau. Le 2ème tour est donc fixé au jeudi 5 juillet. Cette fois, il sera question de rossignols à bulles et d'éventails parfumés au whisky.

Que déjà cela semble loin. Si beau que c'en est incroyable. Un rêve sans doute...

Sur ce, faites-en de beaux et doux,
Je rends l'antenne,
des baisers

Solange, pour La Gazette Cochennec

Commando poétique pour la fête de la Ville et des associations

 En cœur de fête
 
Pause
Relâche associative
A l'éventail
Machine à bonbons
 Peintures
 Pleine course
 Pour Zoro
 Tomate
 Au carrefour
 Sans journal
Sécurité poétique
 Liaison
 Départ
Bout-du-monde

Le Tambour Urbain d'Aubervilliers #5

C'était au début de l'été. Pour la fête de la ville et des associations.
Et voilà, au beau milieu de cette matinée, le Tambour urbain en répétition.
Mais cette fois, c'est un best of !

Michel, Pascal, Cécilia, Karim et Yannick se préparent.



Puis, Olivier se joint à nous.


Là, ça y est. Le Tambour est au plein de sa forme.

Là-bas, dans le centre d'Aubervilliers, la fête bat son plein. Toutes les associations sont de sortie. Odeurs, couleurs, et sons se mêlent. La ville danse.

Nous sommes accueillis avec beaucoup de soin.
Merci aux services de la ville pour ce petit podium "spécial Best of"!



La rubrique "Nouvelles têtes", L'ami Gauthier, par Pascal 


La rubrique "A coté de chez vous", La Fripouille, par Cécilia

La rubrique "Savez-vous que", Leïla, par Yannick

La rubrique "Ils sont d'ici", Les célébrités d'Aubervilliers, par Jubylotin

 Bon. Changement de lieu et là... les Souffleurs en commando se joignent au Tambour !



Affluence.


Du point de vue d'un Souffleur.


A 17h30, le Tambour avait rendez-vous devant le marché du centre.
Il fallu partir, rejoindre le podium qui nous était offert.

Forte affluence. Et applaudissements.

Le Cow-boy d'Aubervilliers clôturera cette édition officielle du Tambour.
Parce qu'après... le Tambour fut demandé à droite, à gauche, pour une association, puis une autre, si bien qu'il fallut dire stop! Nous vous donnons rendez-vous à Aubervilliers pour la prochaine criée à l'automne, au début du mois d'Octobre!

Le rendez-vous, c'est tous les jeudis à 19h au hangar des Souffleurs.
Venez nous rejoindre!