De MAI à OCTOBRE 2013,
déposez votre projet « dit » impossible pour la ville d'Aubervilliers !
Le 20 octobre 2011 a eu
lieu le Conseil municipal extraordinaire sur le
rêve présidé par Stéphane Hessel, en présence de Jacques Salvator, Jack Ralite,
Jean-Pierre Thibaudat, des conseillers municipaux et de près de trois cent
citoyens. L'ordre du jour ?
Ils ont échoué parce
qu'ils n'avaient pas commencé par le rêve – phrase communément attribuée à Shakespeare.
Quatre délibérations
poétiques furent votées.
La troisième de ces
délibérations fut « l'inscription d'un projet -dit- impossible à l'ordre du
jour d'un Conseil municipal extraordinaire du mois d'octobre de chaque
année ».
Mettre en place un protocole qui réactive le rêve comme moteur de l'action politique.
Faire danser les rêves dans Aubervilliers.
Mettre en place un protocole qui réactive le rêve comme moteur de l'action politique.
Faire danser les rêves dans Aubervilliers.
ALORS
Chaque Albertivilarien et
Albertivillarienne est invité à déposer le titre de son projet
« dit » impossible pour Aubervilliers dans les salles de quartier,
les centres sociaux, les médiathèques, les structures jeunesse, au service des
associations et dans de très très nombreux autres lieux disséminés dans la
ville !
Le Conseil municipal
extraordinaire posera les yeux sur les projets « dits » impossibles
le jeudi 24 octobre 2013 !
Vous souhaitez devenir un
lieu de dépôt du Concours des idées folles
ou avoir des précisions ?
> téléphonez au Bureau
des Folles aventures au 01.40.11.35.79
Vous souhaitez déposer
votre projet « dit » impossible pour Aubervilliers ?
> rendez-vous dans les
salles de quartier, centres sociaux,
médiathèques, structures jeunesse
> envoyez votre projet
à concoursdesideesfolles.auber@gmail.com
ou à Les Souffleurs
commandos poétiques 2, rue Chapon à Aubervilliers
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"Ils ont échoué parce qu'ils n'avaient pas commencé par le rêve – phrase communément attribuée à Shakespeare"
RépondreSupprimerIl est anglais, il s'appelle bien Shakespeare mais son prénom est ... Nicholas (journaliste et auteur britannique, né en 1957) et non William.
La phrase est extraite de The Vision of Elena Silves, l'un de ses romans, publié en 1989 et édité, en français, chez Albin Michel en 1991, sous le titre de La vision d'Elena Silves
Cette confusion n'enlève toutefois rien à l'intérêt de la démarche "Concours des idées folles"
La Fiancée du Pirate