Nous asseoir à l'ombre des tamariniers
Nous avions l'habitude de nous asseoir à l'ombre des tamariniers et nous parlions d'aller voir d'autres terres...
Alors tout était durable et joyeux comme le chant de deux oiseaux, de chaque côté du chemin...
La forêt n'avait pas d'autres clairières que nos pensées...
Et nos rêves étaient que les arbres projettent sur le sol, non plus leur ombre, mais plus de calme...
Fernando Pessoa, Le Marin
La Folle tentative d'Aubervilliers vue par Le Parisien
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